ST-TROPEZ
St-Tropez présente 2 aspects touristiques complètement opposés et malgré tout complémentaires.
L'un, par son côté people, yacht, strass, fun, et fêtes,
Les Maisons des Célébrités
Classée " Site remarquable " cette somptueuse baie des Canoubiers ou bataillaient corsaires,
Sarrasins et princes de Provence, est aujourd'hui habité par des artistes,
capitaines d'industrie, politique….
.C'est la découverte de ce littoral typiquement provençal et précieusement sauvegardé
que nous vous proposons.
Toutes les richesses se côtoient, ces maisons visibles de la mer uniquement, sont exceptionnelles.
http://www.lapouncho.com/tarifs/tarifs.htm
| Le lieu de Tournage de "Sous le Soleil" Série télévisée la plus exportée dans le monde : vendue dans 90 pays. Sa réputation n'est plus à faire. Découvrez le lieu insolite du tournage du bar sur la plage même des Canoubiers. Le passage de la réalité à la fiction est incroyable ! Le poste de secours se transforme pour la fiction en un bar très branché. |
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Le tour du Golfe
En passant par Sainte-Maxime, Beauvallon et son célèbre Golf, Port Grimaud par le grand canal de la Giscle,
les Marines de Cogolin,Gassin et la célèbre baie des Canoubiers
Découvrez toute la beauté d'un environnement naturel préservé.
Et l'autre, sûrement moins connu par les touristes, mais tout aussi, voire beaucoup plus, pour certains, intéressant et rare sur la côte française, de par son côté naturel, simple et authentique.
Promenade sur la baie des Canoubiers au printemps par le sentier du littoral (ou chemin du douanier) - 4h30 de marche à pied, puis un retour sur la route pour couper en 45 minutes jusqu'à la place des Lices (boulistes). Conseil : la faire le matin pour profiter au maximum du soleil, car l'après-midi, ce côté se trouve vite à l'ombre. Une vidéo sera mise prochainement concernant cette balade.
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St tropez la madraguephilise. - Découvrez plus de vidéos créatives.PLAYIST ST-TROPEZ avec Kraked Unit
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St-Tropez
Office de Tourisme de St-Tropez
Saint-Tropez, ville d'Art, de Culture et de Traditions.
Le mythe de Saint-Tropez fait toujours rêver. Le village demeure le passage obligé des célébrités, des amoureux de la mer, des passionnés d'histoire, d'art et des férus de patrimoine.
Un programme événementiel de qualité et des manifestations de renommée mondiale rythment l'année et contribuent à la légende de la cité.
Mais, derrière les festivités, Saint-Tropez reste un village authentique, un petit port de pêche aux multiples facettes et charmes infinis.
Autant d'atouts que les guides de Saint-Tropez Tourisme ne manqueront pas de vous faire apprécier. Laissez-vous entraîner à la découverte de Saint-Tropez, de ses pittoresques ruelles, de son marché provençal où vous retrouverez les spécialités culinaires et produits du terroir qui font la fierté du village, de sa Citadelle du XVIème siècle, de son célébre Musée de l'Annonciade.
Le sentier du littoral, la visite des domaines viticoles de la presqu'île et des villages perchés de Ramatuelle et Gassin vous offriront par ailleurs des idées originales de balades.
Un programme événementiel de qualité et des manifestations de renommée mondiale rythment l'année et contribuent à la légende de la cité.
Mais, derrière les festivités, Saint-Tropez reste un village authentique, un petit port de pêche aux multiples facettes et charmes infinis.
Autant d'atouts que les guides de Saint-Tropez Tourisme ne manqueront pas de vous faire apprécier. Laissez-vous entraîner à la découverte de Saint-Tropez, de ses pittoresques ruelles, de son marché provençal où vous retrouverez les spécialités culinaires et produits du terroir qui font la fierté du village, de sa Citadelle du XVIème siècle, de son célébre Musée de l'Annonciade.
Le sentier du littoral, la visite des domaines viticoles de la presqu'île et des villages perchés de Ramatuelle et Gassin vous offriront par ailleurs des idées originales de balades.
Les Trésors Cachés de Saint-Tropez
1/ LA RICHESSE HISTORIQUE DE SAINT-TROPEZ
Historique de Saint-Tropez :
Les plus anciennes traces archéologiques connues à Saint-Tropez datent du Néolithique et au total, on peut recenser six stations datables de 5000 à 1000 avant J.C environ. Pour la période gallo-romaine, on connaît trois sites dont le plus important est la villa romaine des Platanes.
A partir du dernier quart du 1er siècle avant J.C les romaines s'installent sur notre territoire, appartenant désormais à la ville de Fréjus. Fermes et villae (domaines agricoles) forment le cadre de l'habitat, et la vigne devient un élément prépondérant dans l'économie locale.
Le VIe siècle est le début d'une période où l'occupation humaine n'a pas laissé de traces à Saint-Tropez et peu sur le reste de la région. Seules les sources historiques font allusion à la présence du IXe au Xe siècle des Sarrasins. Le XIe siècle marque le début d'une période de renouveau et se traduit à Saint-Tropez par l'établissement d'un habitat rural dépourvu de fortifications, les restes n'ayant pas encore été retrouvés.
Abandonné au XIVe siècle, suite aux crises qui jalonnent cette période, Saint-Tropez ne retrouve une activité réelle qu'à partir de 1470, date à laquelle, sous l'impulsion du baron de Grimaud, des Génois et des Provençaux viennent s'installer au bord de l'eau.
En un peu plus d’un siècle, ce qui n’était qu’un embryon de village devient une petite ville de plus de 4000 habitants. A trois reprises, les consuls font grandir l’enceinte urbaine, dont certaines tours (Jarlier, Vieille, du Portalet) sont encore visibles aujourd’hui. Le village s’étire autour du port aménagé progressivement. Les Tropéziens vivent dorénavant essentiellement de la mer et grâce à la mer, la campagne se couvre de cabanons, de fermes et de bastides.
Sites et Monuments protégés :
Saint-Tropez a la chance exceptionnelle de compter sur son territoire (1116 ha), 17 sites ou monuments classés ou inscrits au titre des monuments historiques (loi du 31 décembre 1913), ou des espaces naturels (loi du 2 mai 1930). C'est au nombre supérieur à la totalité des sites ou monuments protégés des autres villes des cantons de Saint-Tropez et de Grimaud réunis. La totalité de la commune de Saint-Tropez est protégée, et particulièrement, les façades et toitures des immeubles du port et son plan d'eau, la Citadelle et ses abords, la portion du littoral dite "la pointe", l'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, les chapelles Sainte-Anne, l'Annonciade, de la Miséricorde de Saint-Tropez, le lavoir Vasserot et sa fontaine, la tour Jarlier, le château et le parc de la Moutte, le tombeau d'Emilie Ollivier, la villa "La Hune" et son jardin, le "Latitude 43", le porche de la maison "du Mure", l'escalier dit "du Corsaire".
2/ LES TRESORS CACHES : UN PATRIMOINE FRAGILE
Les trésors sont constitués de tous les petits détails architecturaux, traces fragiles et vulnérables de notre passé, qui ne sont pas protégés mais qui pourtant, revêtent un réel intérêt et sont toujours porteurs d'une histoire.
A l'intérieur :
Les escaliers, cheminées, fenêtres, portes, plafond, gypseries, stucs, décors peints, vestiges de moulins à huile, puits intérieurs, caves voûtées etc.
A l'extérieur :
Encadrements de portes, grilles et impostes, oratoires, puits, fontaines, lavoirs, sources, norias, canaux, aires de dépiquage du blé, moulins, bergeries, fours, etc.
La Serpentinite et le Basalte :
Saint-Tropez se trouve dans le massif des Maures, région cristalline à la géologie spécifique et originale. On y trouve peu de bonnes pierres à bâtir. Les seules pierres à sculpter sont la serpentinite (roche très dure, verte parfois veinée) et le basalte (lave volcanique, de couleur noire parfois bleutée, souvent alvéolée). Il existait deux carrières de serpentinite, la première au lieu-dit la Carrade (aujourd'hui sur la commune de Cavalaire) et la seconde au quartier des Guiols à La Môle. Il existait également des carrières de basalte à Cogolin et à La Môle. La serpentinite et le basalte ont été sculptés et utilisés dans la construction, essentiellement pour la décoration des fenêtres, portes, porches, chaîne d'angles, marches etc.
Les Oratoires urbains :
Les oratoires urbains sont de petites niches aménagées aux coins de rues ou au dessus des entrées de maisons. De petites dimensions (quelques dizaines de centimètres), ces niches dessinent généralement un arc de cercle et leur fond est maçonné en cul-de-four. Cela rappelle et représente symboliquement le cœur de nos églises. Ces modestes aménagements ont un rôle de protection pour la maison et ses habitants ou peuvent être des ex-voto, matérialisation d’un vœu à un personnage saint.
A Saint-Tropez, il existe une quarantaine d’oratoires urbains contenant une statue de la Vierge Marie, de saint Tropez, de saint Antoine de Padoue, de saint Roch ou du Christ.
Certains sont datables du XVIIe siècle, d’autres ont été construits il y a deux ou trois ans. Ils sont tous une expression populaire de la foi et à ce titre ils méritent d’être protégés, conservés et entretenus.
L’ancien rempart et la rue des Argentiers :
Cette ancienne rue de la vieille ville longeait les remparts depuis la tour Jarlier jusqu'à la porte du Revelen. Au XIXe siècle, alors que le rempart était en partie écroulé, les autorités décidèrent de le supprimer. Les propriétaires eurent l'autorisation de s'approprier la rue, afin d'agrandir leurs parcelles. Ainsi, les façades actuelles de la rue d'Aumale sont alignées sur l'ancienne muraille. De nombreux vestige de la rue des Argentiers et du rempart sont encore visibles. Ces traces fragiles de l'ancienne architecture de la ville participent à son identité et symbolisent parfaitement ce petit patrimoine terrestre.
Où se cache le Saint-Tropez médiéval ?
L'emplacement de l'habitat médiéval de Saint-Tropez prête aujourd'hui encore à discussions. Aucune maison de cette époque n'a pu être retrouvée à l'inverse de certaines maisons de la Môle ou de la Garde-Freinet par exemple. La découverte d'une de ces maisons se présenterait sans doute sous la forme de quelques assises de pierre locale, autrement dit, rien de spectaculaire au premier abord. Pourtant, une telle découverte permettrait d'en apprendre beaucoup sur l'habitat tropézien de cette époque.
Attention, sous les enduits peuvent se cacher des trésors
Le ravalement d'une façade peut être l'occasion de mettre à jour, une pierre portant une date, peut-être même une ancienne ouverture comme ce fut le cas en 2005 durant la restauration d’une maison rue Ste Anne.
3/ COMMENT INTERVENIR ET DANS QUEL CAS ?
Le sous-sol de Saint-Tropez est riche de vestiges archéologiques, traces de son glorieux passé.
C'est pourquoi en application du décret n°2002-89 (loi du 17 janvier 2001 relative à l'archéologie préventive), tous les dossiers de demande de permis de démolir, de construire, tout projet entraînant un creusement, même minime dans la zone comprise dans le plan page 11, sont soumis à l'avis du Ministère de la Culture (DRAC).
Sites archéologiques : l’exemple de la villa des Platanes
Une opération archéologique exemplaire a pu être menée au cours de l'automne 1995 en concertation avec la commune de Saint-Tropez, le Service Régional de l'Archéologie et le Centre Archéologique du Var. Cette opération a permis de fouiller la villa romaine des Platanes avant d'entreprendre les travaux d'agrandissement de la maison de retraite. Lorsqu’un site est détruit, ce sont des informations qui disparaissent à tout jamais.
Saint-Tropez a la chance de disposer de nombreux noms de lieux datant du Moyen Age qui ont permis de nommer des rues ou des quartiers : la Garonne, Valfère, Barliere (endroit où on jouait aux boules), les Canebiers (espace planté de chanvre), les Marres, les Salins, Saint-Antoine, les Carles…
Pourtant, certains effets de mode ont donné l’occasion à des mots d’envahir le paysage au détriment de noms du terroir. Ainsi le mot « mas » qui désigne une habitation rurale, est devenu omniprésent pour désigner lotissements, quartiers ou villas. Bien que ce mot d’origine provençale, son implantation est surtout localisée dans notre région d’Arles et la basse vallée du Rhône. L’équivalent employé dans notre région pour désigner une habitation rurale est « bastide », nom qui a presque disparu aujourd’hui.
Les noms de lieux sont le reflet de l’histoire et de la forte identité provençale de notre village et méritent, eux aussi, d’être protégés et conservés.
Historique de Saint-Tropez :
Les plus anciennes traces archéologiques connues à Saint-Tropez datent du Néolithique et au total, on peut recenser six stations datables de 5000 à 1000 avant J.C environ. Pour la période gallo-romaine, on connaît trois sites dont le plus important est la villa romaine des Platanes.
A partir du dernier quart du 1er siècle avant J.C les romaines s'installent sur notre territoire, appartenant désormais à la ville de Fréjus. Fermes et villae (domaines agricoles) forment le cadre de l'habitat, et la vigne devient un élément prépondérant dans l'économie locale.
Le VIe siècle est le début d'une période où l'occupation humaine n'a pas laissé de traces à Saint-Tropez et peu sur le reste de la région. Seules les sources historiques font allusion à la présence du IXe au Xe siècle des Sarrasins. Le XIe siècle marque le début d'une période de renouveau et se traduit à Saint-Tropez par l'établissement d'un habitat rural dépourvu de fortifications, les restes n'ayant pas encore été retrouvés.
Abandonné au XIVe siècle, suite aux crises qui jalonnent cette période, Saint-Tropez ne retrouve une activité réelle qu'à partir de 1470, date à laquelle, sous l'impulsion du baron de Grimaud, des Génois et des Provençaux viennent s'installer au bord de l'eau.
En un peu plus d’un siècle, ce qui n’était qu’un embryon de village devient une petite ville de plus de 4000 habitants. A trois reprises, les consuls font grandir l’enceinte urbaine, dont certaines tours (Jarlier, Vieille, du Portalet) sont encore visibles aujourd’hui. Le village s’étire autour du port aménagé progressivement. Les Tropéziens vivent dorénavant essentiellement de la mer et grâce à la mer, la campagne se couvre de cabanons, de fermes et de bastides.
Sites et Monuments protégés :
Saint-Tropez a la chance exceptionnelle de compter sur son territoire (1116 ha), 17 sites ou monuments classés ou inscrits au titre des monuments historiques (loi du 31 décembre 1913), ou des espaces naturels (loi du 2 mai 1930). C'est au nombre supérieur à la totalité des sites ou monuments protégés des autres villes des cantons de Saint-Tropez et de Grimaud réunis. La totalité de la commune de Saint-Tropez est protégée, et particulièrement, les façades et toitures des immeubles du port et son plan d'eau, la Citadelle et ses abords, la portion du littoral dite "la pointe", l'église paroissiale Notre-Dame de l'Assomption, les chapelles Sainte-Anne, l'Annonciade, de la Miséricorde de Saint-Tropez, le lavoir Vasserot et sa fontaine, la tour Jarlier, le château et le parc de la Moutte, le tombeau d'Emilie Ollivier, la villa "La Hune" et son jardin, le "Latitude 43", le porche de la maison "du Mure", l'escalier dit "du Corsaire".
2/ LES TRESORS CACHES : UN PATRIMOINE FRAGILE
Les trésors sont constitués de tous les petits détails architecturaux, traces fragiles et vulnérables de notre passé, qui ne sont pas protégés mais qui pourtant, revêtent un réel intérêt et sont toujours porteurs d'une histoire.
A l'intérieur :
Les escaliers, cheminées, fenêtres, portes, plafond, gypseries, stucs, décors peints, vestiges de moulins à huile, puits intérieurs, caves voûtées etc.
A l'extérieur :
Encadrements de portes, grilles et impostes, oratoires, puits, fontaines, lavoirs, sources, norias, canaux, aires de dépiquage du blé, moulins, bergeries, fours, etc.
La Serpentinite et le Basalte :
Saint-Tropez se trouve dans le massif des Maures, région cristalline à la géologie spécifique et originale. On y trouve peu de bonnes pierres à bâtir. Les seules pierres à sculpter sont la serpentinite (roche très dure, verte parfois veinée) et le basalte (lave volcanique, de couleur noire parfois bleutée, souvent alvéolée). Il existait deux carrières de serpentinite, la première au lieu-dit la Carrade (aujourd'hui sur la commune de Cavalaire) et la seconde au quartier des Guiols à La Môle. Il existait également des carrières de basalte à Cogolin et à La Môle. La serpentinite et le basalte ont été sculptés et utilisés dans la construction, essentiellement pour la décoration des fenêtres, portes, porches, chaîne d'angles, marches etc.
Les Oratoires urbains :
Les oratoires urbains sont de petites niches aménagées aux coins de rues ou au dessus des entrées de maisons. De petites dimensions (quelques dizaines de centimètres), ces niches dessinent généralement un arc de cercle et leur fond est maçonné en cul-de-four. Cela rappelle et représente symboliquement le cœur de nos églises. Ces modestes aménagements ont un rôle de protection pour la maison et ses habitants ou peuvent être des ex-voto, matérialisation d’un vœu à un personnage saint.
A Saint-Tropez, il existe une quarantaine d’oratoires urbains contenant une statue de la Vierge Marie, de saint Tropez, de saint Antoine de Padoue, de saint Roch ou du Christ.
Certains sont datables du XVIIe siècle, d’autres ont été construits il y a deux ou trois ans. Ils sont tous une expression populaire de la foi et à ce titre ils méritent d’être protégés, conservés et entretenus.
L’ancien rempart et la rue des Argentiers :
Cette ancienne rue de la vieille ville longeait les remparts depuis la tour Jarlier jusqu'à la porte du Revelen. Au XIXe siècle, alors que le rempart était en partie écroulé, les autorités décidèrent de le supprimer. Les propriétaires eurent l'autorisation de s'approprier la rue, afin d'agrandir leurs parcelles. Ainsi, les façades actuelles de la rue d'Aumale sont alignées sur l'ancienne muraille. De nombreux vestige de la rue des Argentiers et du rempart sont encore visibles. Ces traces fragiles de l'ancienne architecture de la ville participent à son identité et symbolisent parfaitement ce petit patrimoine terrestre.
Où se cache le Saint-Tropez médiéval ?
L'emplacement de l'habitat médiéval de Saint-Tropez prête aujourd'hui encore à discussions. Aucune maison de cette époque n'a pu être retrouvée à l'inverse de certaines maisons de la Môle ou de la Garde-Freinet par exemple. La découverte d'une de ces maisons se présenterait sans doute sous la forme de quelques assises de pierre locale, autrement dit, rien de spectaculaire au premier abord. Pourtant, une telle découverte permettrait d'en apprendre beaucoup sur l'habitat tropézien de cette époque.
Attention, sous les enduits peuvent se cacher des trésors
Le ravalement d'une façade peut être l'occasion de mettre à jour, une pierre portant une date, peut-être même une ancienne ouverture comme ce fut le cas en 2005 durant la restauration d’une maison rue Ste Anne.
3/ COMMENT INTERVENIR ET DANS QUEL CAS ?
Le sous-sol de Saint-Tropez est riche de vestiges archéologiques, traces de son glorieux passé.
C'est pourquoi en application du décret n°2002-89 (loi du 17 janvier 2001 relative à l'archéologie préventive), tous les dossiers de demande de permis de démolir, de construire, tout projet entraînant un creusement, même minime dans la zone comprise dans le plan page 11, sont soumis à l'avis du Ministère de la Culture (DRAC).
Sites archéologiques : l’exemple de la villa des Platanes
Une opération archéologique exemplaire a pu être menée au cours de l'automne 1995 en concertation avec la commune de Saint-Tropez, le Service Régional de l'Archéologie et le Centre Archéologique du Var. Cette opération a permis de fouiller la villa romaine des Platanes avant d'entreprendre les travaux d'agrandissement de la maison de retraite. Lorsqu’un site est détruit, ce sont des informations qui disparaissent à tout jamais.
Saint-Tropez a la chance de disposer de nombreux noms de lieux datant du Moyen Age qui ont permis de nommer des rues ou des quartiers : la Garonne, Valfère, Barliere (endroit où on jouait aux boules), les Canebiers (espace planté de chanvre), les Marres, les Salins, Saint-Antoine, les Carles…
Pourtant, certains effets de mode ont donné l’occasion à des mots d’envahir le paysage au détriment de noms du terroir. Ainsi le mot « mas » qui désigne une habitation rurale, est devenu omniprésent pour désigner lotissements, quartiers ou villas. Bien que ce mot d’origine provençale, son implantation est surtout localisée dans notre région d’Arles et la basse vallée du Rhône. L’équivalent employé dans notre région pour désigner une habitation rurale est « bastide », nom qui a presque disparu aujourd’hui.
Les noms de lieux sont le reflet de l’histoire et de la forte identité provençale de notre village et méritent, eux aussi, d’être protégés et conservés.
LES SPECIALITES LOCALES
Informations pratiques
Le Nougat de Sénequier :
Cette spécialité, délicieuse douceur miellée, agrémentée de pistaches, a fait la réputation de l’enseigne de Sénequier.
La Tarte Tropézienne :
« Toujours imitée, jamais égalée » telle est la devise attribuée à la tarte créée par Alfred Micka et dont le secret de fabrication est précieusement gardé. Elle se compose d’une épaisse couche de crème à la consistance légère entre deux épaisseurs de génoise parfumées à la fleur d’oranger et recouverte de gros grains de sucre.
Le Câlin de Saint-Tropez :
Dernière née des gourmandises, dans la pure tradition provençale, le « câlin » est mitonné par la vieille famille tropézienne Zerbone et fabriqué artisanalement par Henri Roubaud, confiseur de renom. Ensemble, ils ont su marier la pâte d’amande et le miel affiné d’un soupçon de menthe.
Les Sandales Tropéziennes :
Cela fait plus de 80 ans que la famille Rondini, la plus ancienne maison sur la place de Saint-Tropez, a pignon sur rue dans la cité du Bailli de Suffren. Sa production, loin d’emboîter le pas à la cadence industrielle, trouve malgré tout acquéreurs venus des quatre coins du globe. Robustesse et souplesse, sobriété et régularité des chaussures à lanières, professionnalisme de la maison ont fait et continuent de faire des « Rondini » la famille par qui la sandale arrive. Tout se passe encore dans le petit atelier à l’arrière de la boutique d’où sort imperturbablement une production artisanale élaborée pièce par pièce à la main.
Les Spartiates Tropéziennes :
L’Entreprise K.JACQUES a été créée en 1933 par M. et Mme Kéklikian Jacques, à Saint-Tropez dans une petite boutique rue Allard, qui faisait également office d’atelier de fabrication de sandales. Elles étaient faites sur mesure pour chacun des clients, très souvent des personnalités des Arts, du Cinéma, de la Culture, de la Politique…en villégiature à Saint-Tropez
Le Nougat de Sénequier :
Cette spécialité, délicieuse douceur miellée, agrémentée de pistaches, a fait la réputation de l’enseigne de Sénequier.
La Tarte Tropézienne :
« Toujours imitée, jamais égalée » telle est la devise attribuée à la tarte créée par Alfred Micka et dont le secret de fabrication est précieusement gardé. Elle se compose d’une épaisse couche de crème à la consistance légère entre deux épaisseurs de génoise parfumées à la fleur d’oranger et recouverte de gros grains de sucre.
Le Câlin de Saint-Tropez :
Dernière née des gourmandises, dans la pure tradition provençale, le « câlin » est mitonné par la vieille famille tropézienne Zerbone et fabriqué artisanalement par Henri Roubaud, confiseur de renom. Ensemble, ils ont su marier la pâte d’amande et le miel affiné d’un soupçon de menthe.
Les Sandales Tropéziennes :
Cela fait plus de 80 ans que la famille Rondini, la plus ancienne maison sur la place de Saint-Tropez, a pignon sur rue dans la cité du Bailli de Suffren. Sa production, loin d’emboîter le pas à la cadence industrielle, trouve malgré tout acquéreurs venus des quatre coins du globe. Robustesse et souplesse, sobriété et régularité des chaussures à lanières, professionnalisme de la maison ont fait et continuent de faire des « Rondini » la famille par qui la sandale arrive. Tout se passe encore dans le petit atelier à l’arrière de la boutique d’où sort imperturbablement une production artisanale élaborée pièce par pièce à la main.
Les Spartiates Tropéziennes :
L’Entreprise K.JACQUES a été créée en 1933 par M. et Mme Kéklikian Jacques, à Saint-Tropez dans une petite boutique rue Allard, qui faisait également office d’atelier de fabrication de sandales. Elles étaient faites sur mesure pour chacun des clients, très souvent des personnalités des Arts, du Cinéma, de la Culture, de la Politique…en villégiature à Saint-Tropez
Informations pratiques :
MAIRIE : 04 94 55 90 00
BUREAU D'ACCUEIL OFFICE DE TOURISME DE ST TROPEZ: 08 92 68 48 28 (0,35€/MIN)
PARKING DES LICES: 04 94 97 34 46
PARKING DU PORT: 04 94 97 74 99
ESPACE JEUNESSE: 04 94 97 51 02
CAPITAINERIE: 04 94 56 68 70
GARE ROUTIERE: 04 94 56 25 74
LA POSTE: 04 94 55 96 50
MAIRIE : 04 94 55 90 00
BUREAU D'ACCUEIL OFFICE DE TOURISME DE ST TROPEZ: 08 92 68 48 28 (0,35€/MIN)
PARKING DES LICES: 04 94 97 34 46
PARKING DU PORT: 04 94 97 74 99
ESPACE JEUNESSE: 04 94 97 51 02
CAPITAINERIE: 04 94 56 68 70
GARE ROUTIERE: 04 94 56 25 74
LA POSTE: 04 94 55 96 50
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